A la craie blanche
Sur un tableau noir
Au stylo qui se penche
Sur un carnet d'histoires
Quoi que l'on ait à raconter
On se met sur le papier
Avec ou sans pudeur
Parce que, de le dire, c'est l'heure
Du vécu
De l'imaginaire
Puisqu'on ne le retient plus
Cela devient salutaire
Respirer à plein poumons
Avec des stylos, des crayons
Quand un croquis vient illustrer
Ce que de soi on laisse échapper
Elisabeth Malval
10 septembre 2013
Joli, très bon rythme.
RépondreSupprimerMerci à vous.
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