Le
vieil homme assis au coin du feu
Regarde
par la fenêtre le paysage neigeux
Il
aime la beauté
De la
nature unifiée
La
blancheur, le silence
La
froideur, l'errance
Il
vagabonde bien au chaud
Dans
un monde, incognito
Peut-être
se décidera-t-il
Un
jour d'avril
Il n'a
plus l'habitude de l'extérieur
Tellement
terré en son intérieur
Il
hésite, ne sait que faire
Il n'aura
pas le gîte et le couvert
Mais il ne veut pas se fondre à la société
Et,
comme la neige, disparaître, ne plus exister
Elisabeth
Malval
11
avril 2016
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