lundi 12 août 2013

Possédé par ce que l'on possède


Sans aller contre la société de consommation
Vivre avec l'utile, le nécessaire, sans la profusion
Se satisfaire de peu
Fait comprendre, ouvre les yeux
On ne se contente pas, on apprécie
Parfois tellement il y en a, on se sent quand même démuni

Trop posséder ne rime à rien
On perd pied quand on en a plein les mains

Si l'on considère que ce qu'on possède est un trophée, une médaille
Attention au revers, il peut nous laisser sur la paille
Trouver, faire, vivre, apprendre, vouloir ce qui nous correspond
Est un magnifique défi que nous nous lançons
Le matin, on voit un sourire dans notre café
Le soir, pour s'endormir, on n'a plus besoin de compter

Elisabeth Malval
4~6 août 2013 

6 commentaires:

  1. C'est pourquoi je vivrais nu sur l'ile de mes amours
    Me contentant de l'essentiel à chaque jours
    Cette course fanatique que nous enseigne la vie
    N'as pour but que de goinfrer encore plus les plus nantis

    Ils ne sont pas plus fidèle à l'amour
    Se disant qu'ils sont généreux par leurs retours
    Surtout silencieux lorsque la réalité pointe le jour
    Moi ! non jamais je t'aime mon amour...

    C'est de ton corps et de ta sensualité
    Que je voudrais que mes mains soient remplies
    Que chaque moment se fassent en sensualité
    De peur d'échapper l'essentiel, une simple goutte de simplicité.

    Mais toi ! dis moi ou se trouve ce lieu
    Ou il est possible de dire, faire, apprendre
    Dès le matin, face a un savoureux café
    Et le soir savoir que tu sera toujours ;a mes cotés...

    Robert RL Lepage 2013-08-13 21:08


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  2. les fautes d orthographe, c est volontaire?

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    1. Mon message s adresse bien sur a Robert RL Lepage...

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    2. Pour vous cher anonyme,,,,,

      Tant que tu zézayasses
      Ces paroles dégueulasses
      Ta réelle personnalité
      S'exprime par ta bouche édentée
      ...
      En serait tu rendu à la zoopsie
      Ou en profonde asthénie,
      dans une frénésie
      A entendre et lire tes inepties
      ...
      Point de mots ne saurait suffire
      Pour couvrir tes mots insensés
      A quand pardonner
      Quand les limites sont ainsi dépassées .......

      Désolé Madame ou mademoiselle Malval pour cette réponse qui viens entacher votre poésie |

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    3. Je vous remercie de vos excuses,
      même si ce n'est pas vous que les commentaires accusent... !

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  3. Je suis ravie que mes écrits vous en inspirent d'autres.
    Cela est très agréable, merci !

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